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Comment se prémunir du burn-out au travail ?

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Comment se prémunir du burn-out au travail ?




Le burn-out est un processus d’usure, appelé aussi syndrome d’épuisement professionnel, consécutif à un stress permanent et prolongé. Voilà pour la définition. Dans les faits, c’est une fatigue durable et inexpliquée tant physique que psychique. 
Alors que la maladie s’installe insidieusement, mois après mois, la rupture, elle, est souvent soudaine. « Je n’ai rien vu venir », « Un jour j’ai pété les plombs » sont les expressions les plus courantes dans la bouche des personnes touchées. L’état d’épuisement peut mimer un épisode dépressif et, au pire, des idées suicidaires peuvent hanter la victime tant elle se sent en incapacité de remplir ses tâches habituelles. 
12 % de la population active est en situation de risque élevé de burn-out, soit 3,2 millions de personnes, selon une étude Technologia, cabinet spécialisé en prévention des risques psychosociaux (mai 2014). 
Et pour le docteur Christophe Bagot, coauteur de L’empire du stress – Quand le stress devient votre employeur, « la personne qui en souffre est la dernière à le détecter », d’où la difficulté de prévenir ce mal. Focus sur de nouvelles habitudes professionnelles à adopter pour que travail ne rime pas avec burn-out. 

Savoir dire non à son manager

Si n’importe qui peut être touché, certains sont plus susceptibles de connaître un burn-out : les personnes perfectionnistes, sensibles au jugement d’autrui, celles qui cherchent de façon excessive et à court terme la reconnaissance de leur entreprise. 
Il faut savoir dire non à son manager sans culpabiliser et avec intelligence. Et ne pas se laisser imposer des objectifs inatteignables, car pour le docteur Christophe Bagot, « le burn-out est autant de la responsabilité du salarié que de l’entreprise qui cherche constamment à faire plus mais avec moins de moyens ». 
Dans ce contexte, il devient crucial d’informer son manager de sa charge de travail, prioriser et hiérarchiser ses tâches et dossiers, et ne pas vouloir tout faire à tout prix, au détriment de la qualité et de sa santé.
Se laisser fixer trop d’objectifs ou des objectifs impossibles à atteindre donnera, sur le long terme, une impression de sur-place et conduira au découragement qui fera le lit du burn-out. 

S’imposer des limites

« Il est de plus en plus difficile de faire respecter les arrêts de travail. Je dois insister auprès de mes patients pour leur dire qu’un arrêt de travail, c’est ne pas consulter sa messagerie et éteindre son téléphone professionnel. Mais certaines entreprises ne voient pas d’inconvénients à ce qu’un salarié en arrêt suive ses dossiers en télétravail ! » 
Et ce qui est vrai pour l’arrêt de travail, est également valable pour les congés, les week-ends ou les soirées… Car les limites professionnelles sont mises à mal par les nouvelles technologies, smartphones, tablettes et autres ordinateurs en mode wifi, n’importe où, n’importe quand.  
Et des limites naissent le respect. Chaque salarié doit être conscient que ce qu’il acceptera comme surcharge de tâche une fois peut devenir son quotidien. Les intrusions dans sa vie privée du monde professionnel doivent rester exceptionnelles. 

Travailler sur son employabilité 

« L’absence d’alternatives professionnelles est un terrain favorable au burn-out », souligne le docteur Christophe Bagot. Tout comme la peur du chômage qui paralyse les salariés qui se sentent impuissants. 
Pour y remédier : prendre conscience de ses capacités d’employabilité à tout moment de sa carrière et savoir les développer. Faire le point régulièrement seul ou accompagné sur ses possibilités d’alternatives professionnelles. S’interroger sur ses compétences, savoir les développer éventuellement par des formations.
Mal professionnel du siècle, le burn-out n’est pourtant pas encore reconnu comme une maladie professionnelle.



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